Astuces pour ne pas se ruiner en chaussures pour enfants

Le 12/08/12 par Vincent.F

60 euros la paire de magnifiques Converse All Star en cuir marron. Taille 33. Espérance de vie portée : quelques mois au mieux. Intérêt : minime…

Le marché de la chaussure pour enfant tient un rang convenable en matière de gaspillage et de gouffre financier pour les parents. Offrir de bonnes chaussures à son enfant en croissance est primordial. Mais payer juste pour la virgule, le gros chat, les trois bandes ou l’étoile, fera frémir tous les aquoibonnistes…

Sans tomber dans l'excès proposé par cette marque qui ne doute de rien, il est possible de réduire considérablement les frais engagés en chaussure enfants tout en conservant une qualité de produit primordiale pour les pieds et la croissance d'un jeune enfant.

Les bons plans pour des enfants bien dans leurs pompes peu onéreuses :

Alors, plutôt que d’assister pantois, à l’abandon de leurs nouvelles chaussures par les enfants, quelques semaines seulement après leur achat, les parents sensibles au développement durable et à la consommation responsable auront recours à la récupération, au sein de la famille, au gré des braderies, marchés aux puces ou sites d’échange/revente entre particuliers.

Depuis peu, ils pourront également passer par une solution basée sur l’entraide et initiée par une association qui combat chaque jour l’exclusion, à savoir le Relais, membre d’Emmaüs.

Une nouvelle boutique en ligne spécialisée dans la chaussure enfant : récupération-redistribution

L’association a en effet développé avec l’aide d’une boutique en ligne de chaussures enfants un concept appelé Premiers Pas Solidaires. Il s’agit de récupérer des chaussures pas trop abimées portées par les enfants, et, ensuite de les redistribuer dans un nouveau circuit commercial, voire de donation.

Les parents peuvent ainsi préparer un colis, le déposer dans un Point Relais à l’adresse indiquée par la boutique. Une fois triées, une partie termine sa route dans les points de vente du Relais. L’autre partie est convoyée vers les pays du Tiers Monde, où elles seront accueillies avec ferveur par les plus démunis.

En résumé : une bonne action qui évite le gaspillage sur un marché où les dépenses ont doublé en 20 ans. Et en plus un petit bonus attend les donateurs.

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En savoir plus :

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  1. Evelyne dit :

    Ne pas oublier les ressourceries, associations locales, qui collectent aussi tout ce dont les habitants ne veulent plus et les redistribuent à tout petit prix après tri. Pas de transport car les points de collecte sont au même endroit que les points de redistribution. Ce sont des associaytions à but non lucratif, qui créent des emplois locaux non délocalisables.

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