Affichage environnemental : il était temps !
Mais au bout du compte, nous aurons réussi à imposer cet affichage qui semble pourtant logique : la sauvegarde de notre planète étant devenue un enjeu capital pour l’avenir des humains, il faut que chacun puisse y contribuer à son échelle. Et cela passe par le choix des produits achetés par le consommateur.
168 entreprises participeront donc à ce projet tellement attendu et repoussé à plusieurs reprises. Une période d’évaluation d’un an permettra d’optimiser et de valider le procédé.
Fini le greenwashing ?
Espérons-le, un bon pas a été réalisé mais nous ne pouvons plus nous permettre de consommer de la même manière si nous voulons une planète potable pour nos enfants…
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Bonjour Gabibi,
voici quelques compléments d’informations pour compléter votre article :
Les critères de sélection
Taille des entreprises retenues
Comme vous le mentionnez, sur l’ensemble des candidats (voir article : affichage des caractéristiques environnementales des produits, début de l’expérimentation en juillet), le Ministère a retenu 168 dossiers et en très grande majorité des PME. Pour le Ministère, le but de cette sélection n’était pas de donner des « bons » ou des « mauvais points » à telle ou telle entreprise mais de constituer un panel varié, centré sur la consommation courante des ménages.
Le ministère a également tenu compte de la capacité des entreprises à mettre en place l’expérimentation d’ici le 1er juillet 2011.
Les secteurs concernés par l’expérimentation d’affichage
Les secteurs qui sont concernés par l’expérimentation sont très variés :
Exemples d’entreprises qui vont participer à l’expérimentation
Produits éthiquable
Les entreprises qui vont participer à l’expérimentation sont variées et ne commercialisent pas forcément des produits dit écologiques puisqu’on trouve par exemple Butagaz (Gaz), la Compagnie des Salins du midi et des Salines de l’Est (sel), Devernois (textile), Kickers (chaussure), Levi Strauss,…
On trouve également des entreprises qui avaient déjà engagé des démarches d’étiquetage environnemental de leurs produits comme Casino ou Leclerc ainsi que des structures spécialisées dans les produits écologiques c’est notamment le cas de la coopérative Biocoop, de Weleda, de Novamex (produits l’Arbre Vert) ou encore d’Ethiquable.
Par contre et étrangement, Alter Eco ne semble pas faire partie de cette expérimentation.
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