Je trouve que leur démarche est vraiment positive. Elle permet de voir que l’écologie n’est plus qu’un truc réservé aux écolos mais qu’elle s’ancre de plus en plus dans l’entreprise. Elle correspond à un vrai marché et je pense que le Public système la bien compris. Cela permettra-t-il de faire progresser la cause écologique, certainement. Cela contribuera-t-il à diminuer notre empreinte écologique, je l’espère et je crois que oui pour certains actes comme le recyclage.
Concernant une autre action comme celle de remettre le document sur une clé USB, j’en suis loin d’être certain. Quelle quantité d’eau, d’énergie… faut-il pour fabriquer une clé USB ? Quelle quantité d’eau, d’énergie est nécessaire à la fabrication d’un rapport sous forme papier ?
Tous cela reste à évaluer. Pour que l’empreinte écologique soit minimisée, il faudrait que le rapport soit fourni sous forme complètement dématérialisé (mail) ou que le Public système conserve la clé. Mais, le rapport ne sera-t-il ensuite pas imprimé ? Est-ce qu’il ne serait donc pas préférable de le remettre sous forme papier en l’imprimant sur du papier recyclé ou certifié, chez un imprimeur labéllisé Imprim’vert etc…
Mais il s’agit de ma seule critique.
Ce qui me semble aussi intéressant dans le reportage, c’est que l’on discerne le nom des prestataires, cela peut donc aider d’autres structures qui souhaitent mettre en place une démarche identique…
Bonjour
Le texte n’est plus « lisible » sur la demarche durable du Public System
Avez vous la possibilité de me l’envoyer
Merci d’avance
Concernant une autre action comme celle de remettre le document sur une clé USB, j’en suis loin d’être certain. Quelle quantité d’eau, d’énergie… faut-il pour fabriquer une clé USB ? Quelle quantité d’eau, d’énergie est nécessaire à la fabrication d’un rapport sous forme papier ?
Tous cela reste à évaluer. Pour que l’empreinte écologique soit minimisée, il faudrait que le rapport soit fourni sous forme complètement dématérialisé (mail) ou que le Public système conserve la clé. Mais, le rapport ne sera-t-il ensuite pas imprimé ? Est-ce qu’il ne serait donc pas préférable de le remettre sous forme papier en l’imprimant sur du papier recyclé ou certifié, chez un imprimeur labéllisé Imprim’vert etc…
Mais il s’agit de ma seule critique.
Ce qui me semble aussi intéressant dans le reportage, c’est que l’on discerne le nom des prestataires, cela peut donc aider d’autres structures qui souhaitent mettre en place une démarche identique…